Um antracnose no melão pós-colheita

Résumé

La présente étude étudie les lésions progressives causées par l'anthracnose dans les cultures de melon, en analysant leur évolution et leur impact sur la durabilité des fruits. La recherche porte sur l'utilisation de fongicides et l'inoculation du pathogène (Colletotrichum gloeosporioides), qui, lorsqu'il entre en contact avec les fruits à travers des blessures, peut provoquer des blessures, même après la récolte, réduisant ainsi la durée de conservation du melon. Les applications de fongicides nécessitaient des évaluations rigoureuses et un respect de l'environnement, étant donné que la salle d'expérimentation maintenait une température contrôlée et que l'humidité des melons devait rester stable pour favoriser la manifestation des champignons.Au cours du développement de l'étude, des analyses statistiques et des graphiques ont été réalisés, permettant une évaluation objective et visuelle des différences observées entre les traitements, démontrant l'efficacité du produit appliqué. Cette approche s'avère être une alternative viable pour contrôler ce pathogène, étant largement utilisée dans plusieurs cultures, comme les fraises, qui ont une fine couche protectrice autour de leurs fruits, les rendant sensibles au contact avec des champignons. Ainsi, l'importance de la méthode adoptée et testée dans cette étude dans la culture du melon est soulignée, mettant en évidence l'impact de l'anthracnose comme facteur limitant pour la durée de conservation des fruits